En 2020, en raison de la nécessité de financer des dépenses urgentes sociales, médicales et d’infrastructures nées de la guerre, par neuf décisions de son
Conseil des gouverneurs...
Les Arméniens du monde – et bien sûr ceux de France et leurs amis non-arméniens – ont vécu des journées dramatiques lors de la guerre des 44 jours de l’automne
2020. L’agression...
Le projet agropastoral du Fonds Arménien dans le Tavush semble faire des petits... Après la ferme de Lusadzor et le lycée agricole Patrick Devedjian, un
projet de laiterie est en...
Depuis sa création, à l’échelle mondiale, des centaines de projets ont ainsi été réalisés par le Fonds Arménien pour près de 500 millions de dollars (routes et ponts, réseaux d’adduction d’eau, lignes électriques, habitations…)
Formation d'aides dentistes destinée aux arméniennes du Liban
Après la première formation des aides infirmières en 2021-2022, le Fonds Arménien de France a renouv
Aujourd’hui, l’agriculture est reconnue par le gouvernement arménien comme une priorité pour le développement de l’économie du pays et l’aménagement des territoires ruraux. Le partenariat entre le Département des Hauts-de-Seine et la Région du Tavush, formalisé en 2011 par une convention de coopération décentralisée, intègre le programme dans le cadre d’un développement local durable destiné à réduire l’émigration.
En plus de l’opération « Donnons leur une classe », le Fonds Arménien a financé la construction, la réhabilitation ou l’ameublement de près de 360 écoles, en Arménie et en Artsakh. Le Fonds Arménien a également financé une école de formation professionnelle à Shushi. Cette école permet aux jeunes d’Artsakh de se former aux métiers manuels. Un succès qui marque l’attractivité de l’école et la confiance acquise en Artsakh.
En Artsakh et en Arménie, en dépit d’efforts importants consentis, il reste de nombreuses communautés rurales qui manquent d’eau potable ou qui ne disposent que d’une eau de qualité médiocre. En Artsakh, 50 000 habitants profiteront de ce projet. En Arménie, ce sont 15 000 habitants répartis dans une douzaine de communautés du Lori, du Tavush et du Shirak, qui en bénéficieront. Le coût du projet est de 15,9 M€, sa réalisation au cours de la période 2020-2022.