Phonéthon : du 21 au 24 novembre 2024
Phonéthon : du 21 au 24 novembre 2024

Agir au quotidien pour ceux qui en ont besoin

Le Phonéthon 2024, organisé par le Fonds Arménien de France, aura lieu du 21 au 24 novembre.
Cette année, il sera parrainé par l’éditorialiste Franz-Olivier Giesbert (FOG).

Parmi les soutiens de l’Arménie et du Fonds Arménien de France, Franz-Olivier Giesbert tient une place particulière. Journaliste des plus entendus et des plus écoutés, FOG, comme on le nomme, est reconnu pour sa liberté d’opinion, toujours situé en dehors des sentiers battus de la « doxa ». Cette liberté de penser et de parole, il l’a souvent utilisée pour soutenir l’Arménie sur les écrans et sur les ondes. En devenant parrain du Phonéthon 2024, il la met aujourd’hui au service du Fonds Arménien, de ses donateurs et des amis des Arméniens.

Le Phonéthon représente un moment clé de solidarité pour soutenir les actions du Fonds Arménien de France. Cette année, les dons collectés seront destinés à plusieurs projets prioritaires visant à améliorer les conditions de vie des populations vulnérables en Arménie et au Liban.

L'un des principaux axes de cette édition est l'aide aux réfugiés d'Artsakh, arrivés massivement en Arménie. Grâce aux fonds récoltés, le programme "Habitation-réhabilitation-emploi" se poursuivra, avec la rénovation de maisons rurales non occupées et la construction de nouveaux logements. En plus de leur fournir un toit, ce projet permet d’accompagner les familles dans la reprise d'une activité agricole, en leur offrant des outils et des ressources pour cultiver la terre. Plus de trente maisons ont déjà été rénovées, et les nouvelles constructions sont en cours.

Par ailleurs, le Fonds Arménien de France soutient depuis plusieurs années le développement économique dans les régions frontalières du Syunik et du Tavush, notamment avec des projets agropastoraux et la diversification des activités agricoles. La culture fruitière, par exemple, offre aux agriculteurs de nouvelles opportunités de revenus à long terme. En trois ans, 150 000 arbres fruitiers ont été plantés, et des formations sont organisées pour garantir le succès de ces initiatives.

En parallèle, le Phonéthon financera des actions en faveur des écoles arméniennes du Liban, qui traversent une crise économique sans précédent. L’aide annuelle de 100 000 euros permet de soutenir les établissements scolaires et de financer des formations professionnelles, offrant ainsi des perspectives d'avenir aux jeunes et aux femmes. De plus, une aide sera également allouée aux écoles arméniennes d’Alep, qui ont subi des dommages importants lors du séisme de février 2023.

Le Phonéthon 2024 mobilise ainsi les donateurs pour apporter un soutien vital à ces populations en difficulté, contribuant à leur redonner espoir et dignité !
Alors n'attendez pas, faites dès à présent votre don.

Merci pour votre générosité.

Franz-Olivier Giesbert
Parrain du Phonéthon 2024 

Parmi les soutiens de l’Arménie et du Fonds Arménien de France, Franz-Olivier Giesbert tient une place particulière. Journaliste des plus entendus et des plus écoutés, FOG, comme on le nomme, est reconnu pour sa liberté d’opinion, toujours situé en dehors des sentiers battus de la « doxa ». Cette liberté de penser et de parole, il l’a souvent utilisée pour soutenir l’Arménie sur les écrans et sur les ondes. En devenant parrain du Phonéthon 2024, il la met aujourd’hui au service du Fonds Arménien, de ses donateurs et des amis des Arméniens.

Franz Olivier GIESBERT
Franz Olivier GIESBERT

A travers vos nombreux éditoriaux et vos prises de positions publiques, vous avez montré que vous étiez résolument aux côtés de l’Arménie et des Arméniens. D’où vient cet engagement ?
Franz-Olivier Giesbert : Il y a au moins trois raisons que je ne vous donnerai pas dans l’ordre. Depuis que je suis entré en journalisme, j’ai toujours été du côté des peuples persécutés, vous pouvez le vérifier : comme j’aime le dire, c’est la meilleure façon de ne pas se tromper. Je ne vous cacherai pas que ma femme, Valérie Toranian, est arménienne et que ça a évidemment beaucoup compté dans mon engagement. Elle m’a emmené deux fois en Arménie et j’ai été fasciné par les paysages, les montagnes et le peuple, ce grand et beau peuple qui est sans doute l’un des plus bienveillants de la planète. C’est ainsi que je suis devenu un forcené de la cause arménienne.

Qu’est-ce qui vous a frappé là-bas ?
F.O.G. : Après avoir découvert la première fois, en 2019, ce peuple arménien qui, je le répète, me fascine, avec son incroyable courage et sa capacité de survivre à tout, j’ai été ébloui par les monastères, souvent perchés dans des lieux improbables, notamment Noravank et Tatev. Sans oublier la capitale, Yerevan, qui ne correspondait pas du tout à ce que j’attendais. C’est une ville très vivante et très cosmopolite qui, par certains aspects, rappelle Greenwich Village à New York.

Ces derniers mois, la France intensifie ses relations diplomatiques et militaires avec l'Arménie. Que pensez-vous de l’engagement de la France dans cette région du Caucase ?
F.O.G. : Je suis, bien sûr, heureux de l’engagement français. Si je n’ai pas toujours une grande confiance dans le président Macron qui, souvent, varie quand il ne change pas carrément de pied – c’est ce qu’on appelle le « en même temps » – je dois dire qu’il a fait preuve, sur ce dossier, d’une grande constance. Merci à lui.

Que pensez-vous de l’orientation pro-européenne de l’Arménie et de sa prise de distance avec la Russie ?
F.O.G. : C’est une affaire sur laquelle j’ai changé d’avis. J’ai d’abord cru que l’Arménie devait tout faire pour empêcher la Russie de prendre ses distances avec elle. Je n’avais pas mesuré le cynisme sans limite de Poutine qui n’a pas hésité à lâcher sans attendre l’Arménie, au nom des « intérêts supérieurs » russes, pour complaire à ses alliés turcs ou azerbaïdjanais dès qu’il a eu besoin d’eux, notamment pour contourner les sanctions occidentales à la suite de sa guerre en Ukraine. La Russie n’a pas laissé le choix à l’Arménie. Elle l’a « vendue » pour un plat de lentilles, comme on a pu le vérifier dans l’affaire honteuse du Haut-Karabakh où elle avait partie liée avec l’Azerbaïdjan. Nikol Pachinyan fait du mieux qu’il peut, dans des conditions difficiles. Paradoxalement, c’est l’Iran qui perturbe aujourd’hui le jeu à trois russo-turco-azerbaïdjanais et apparaît comme l’un des meilleurs alliés de l’Arménie. 

Alors que Bakou s’apprête à accueillir la COP29, que diriez-vous de la politique de déstabilisation de la France par l’Azerbaïdjan et de ses ingérences en Nouvelle-Calédonie ou en Corse ?
F.O.G. : Il n’y a pas lieu de s’inquiéter vraiment. Le président azerbaïdjanais, Ilham Aliyev, est un personnage abject et ridicule qui finira, un jour ou l’autre, dans les poubelles de l’Histoire. En attendant, il va continuer de s’enrichir, avec son petit clan, sur le dos d’un peuple qu’il asservit, dépouille et terrorise. Je ne crois pas que ses opérations de déstabilisation aient un grand avenir. Les Corses ou les Néo-Calédoniens ne sont pas assez bêtes pour se laisser prendre. Ce qui est bien plus préoccupant, en revanche, c’est la corruption menée par le régime du dictateur auprès des « élites » françaises, dans la politique, les médias et l’appareil d’État. Qu’attend la justice française pour agir au lieu de le laisser faire ? Il serait temps qu’elle se réveille.

Que pensez-vous du contexte mouvementé de la région, notamment le conflit israélo-
libano-iranien, et comment voyez-vous l’avenir de l’Arménie ?
F.O.G. : L’Arménie gagne du temps : c’est la seule et la meilleure des politiques possibles. Vous en voyez une autre ? 

Dans votre livre "La cuisinière d’Himmler", l'héroïne est d'origine arménienne, pourquoi ce choix ? Il est vrai que depuis la guerre de 2020, comme après le Génocide, les femmes sont en première ligne dans le relèvement du pays. Quel message leuradressez-vous ?                                     
F.O.G. : Si Rose, l’héroïne et narratrice de « La Cuisinière d’Himmler » est arménienne, ce n’est pas une idée qui m’est venue au terme d’une longue réflexion. Elle s’est tout de suite imposée à moi, comme si elle était vivante et, ensuite, elle m’a pour ainsi dire dicté le roman qui, grâce à son succès, a pu faire connaître la cause arménienne dans le monde entier. Ce livre était une façon aussi de dire merci à toutes les femmes, souvent les oubliées de l’Histoire, qui ont fait et continuent de faire l’Arménie. 

Quel message souhaitez-vous communiquer aux donateurs du Fonds Arménien de France ?
F.O.G. : Il faut aider l’Arménie tout de suite, autant que vous pouvez. Sinon, vous le regretterez toute votre vie.

Propos recueillispar René Dzagoyan

Pour soutenir les actions du Fonds Arménien de France, vous pouvez cliquez ici *
*Vous pouvez également souscrire à la campagne de versements mensuels « L’Arménie, tous les mois », ou faire un chèque : Fonds Arménien de France, BP12, 75660 Paris Cedex 14.

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Réfugiés : La mobilisation du Fonds Arménien de France

Lorsque les Artsakhtsis ont commencé à arriver en Arménie, par la route de Goris, les équipes locales du Fonds Arménien de France se sont immédiatement mobilisées. Renforcées par des volontaires de la région (étudiants, villageois, etc.), 24h sur 24, elles ont pu approvisionner en vivres, en eau et parfois aussi en carburant environ 45 000 personnes. Cette aide d’urgence a été prolongée, dans les mois qui ont suivi, par la distribution de denrées alimentaires, de vêtements chauds, de matelas, de lits pliants, de couvertures, de réchauds, etc. par le Fonds Arménien mondial.

Dans la foulée, le Fonds Arménien de France a lancé un programme de relogement des réfugiés dans des villages d’Arménie intitulé « Habitation-réhabilitation-emploi » composé de deux volets:

1) restauration de maisons rurales existantes non occupées et construction de nouvelles maisons ; 
2) création de conditions permettant aux réfugiés de reprendre une activité productive.

Ainsi, chaque famille relogée est dotée d’outils agricoles, de plants de légumes et d’arbres fruitiers, parfois aussi de serres, pour qu’elle puisse redémarrer une activité agricole. Le premier volet de ce pro- gramme (la réhabilitation de maisons rurales existantes) avance rapidement. A ce jour, une trentaine de maisons ont été rénovées et une dizaine de rénovations sont en cours ou sur le point de démarrer. De son côté le Fonds Arménien Mondial construit des maisons neuves pour une vingtaine de familles et 16 autres sont en cours.

Cette aide aux réfugiés de l’Artsakh a été déployée en plus du programme agro-alimentaire qui est déjà mené par le Fonds Arménien de France au Syunik, au Tavush et au Guégharkounik. Ce programme consiste à fournir aux paysans des serres agricoles, des équipements légers (comme des motobineuses ou des motoculteurs), des plants d’arbres fruitiers ou de légumes, des semences, des ruches, etc. En même temps, le Fonds a poursuivi le programme d’adduction d’eau au profit de villages, avec vingt réalisations déjà à ce jour. A cet égard, le partenariat noué sur le terrain avec le Programme Alimentaire Mondial (PAM) des Nations Unies, est exemplaire. Il a été couronné par la signature d’un accord-cadre en vue de nouvelles coopérations.

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TAVUSH : DES CHAMPS D’ACTION DU FONDS ARMÉNIEN DE FRANCE À L’ÉTENDUE DE SES RÉALISATIONS DANS LA RÉGION

Le programme de développement initié par le Fonds Arménien de France et le Conseil départemental des Hauts-de-Seine depuis 2009 ne cesse de croître : une ferme modèle, une fromagerie moderne, un lycée agricole assurant des cours pratiques, un projet agricole et d’élevage aux normes européennes, des distributions importantes de plants de légumes et d’arbres fruitiers favorisant une économie familiale, un système de traitement des eaux usées et l’augmentation des panneaux solaires permettent l’optimisation des ressources et de la production locale. Un plan triennal 2025-2027 a été adopté le 29 mai dernier. Au développement des axes de travail existants ont été ajoutées des orientations nouvelles comme l’agritourisme.

Bilan en quelques chiffres des contributions du programme.

Carte des réalisations du Fonds Arménien de France dans la région du Tavush.
Carte des réalisations du Fonds Arménien de France dans la région du Tavush.

Culture fruitière dans le Syunik : Former et accompagner

Traditionnellement employées à l'élevage extensif et aux cultures céréalières et fourragères, les populations rurales des régions frontalières du Syunik, au sud-est de l’Arménie, se sont retrouvées privées d’une grande partie de leurs pâturages et de leurs terres à la suite de la « guerre de 44 jours » en 2020. Elles n’ont eu d’autre choix, pour ne pas partir, que de diversifier leurs activités.

Pour les encourager et les soutenir dans cette transition, le Fonds Arménien de France a engagé diverses actions en coopération avec les responsables de ces communautés et le Programme Alimentaire Mondial (PAM) des Nations-Unies.

Parmi celles-ci, le développement de la culture fruitière, production à forte valeur ajoutée, devrait permettre en quelques années et sur des parcelles relativement modestes d'offrir à ces familles de nouvelles sources de revenus, peut-être même suffisamment importantes pour des projets encore plus ambitieux.

L'opération a démarré il y a trois ans avec la distribution à 8 000 familles de plants d’arbres. 150 000 pommiers, poiriers, noyers, pruniers et autres kakis ont ainsi déjà été plantés.

Mais pour assurer le succès et la pérennité à terme du projet, la formation et l’accompagnement des agriculteurs sont indispensables. Il s'agit de jeter les bases d’un verger à bon rendement, voire à fort potentiel de production, d'enseigner les bonnes pratiques pour savoir, par exemple, reconnaître les maladies et pouvoir les traiter.

Au début du printemps, le Fonds Arménien a organisé une session itinérante de cours pratiques dans les villages frontaliers en faisant appel à deux professeures détachées de l'Université agraire d'Erevan.

Bilan des aides principales apportées aux populations durant ces dernières années.

Carte des aides apportées dans la région du Syunik par le Fonds Arménien de France.
Carte des aides apportées dans la région du Syunik par le Fonds Arménien de France.
Carte des aides apportées dans la région du Gegharkunik
Carte des aides apportées dans la région du Gegharkunik

Le Fonds Arménien de France continue d'apporter une aide essentielle aux écoles arméniennes du Liban, durement affectées par la grave crise économique qui frappe le pays. Chaque année, 100 000 euros sont alloués pour soutenir ces établissements, un soutien précieux et attendu par les communautés locales.

En parallèle, nous finançons des stages de formation professionnelle pour les femmes arméniennes du Liban, notamment dans les domaines des soins infirmiers et de l’assistance dentaire, en partenariat avec l'Université Saint-Joseph de Beyrouth. Ces programmes ont permis à des dizaines de femmes de se former et de trouver des emplois stables et bien rémunérés.

Enfin, 100 000 euros supplémentaires ont été versés aux écoles arméniennes d'Alep, endommagées lors du séisme de février 2023, pour contribuer à leur reconstruction et assurer la continuité de l'éducation dans des conditions difficiles.

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La formation d’assistant dentaire : un succès !

C’est en 2021, que le Fonds Arménien de France et l’Université Saint-Joseph (USJ) de Beyrouth s’associaient pour lancer une formation au métier d’aide infirmière ; puis en 2022, au métier d’assistant-dentaire. Des réussites.

La première session de formation d’aide-infirmière pour les Arméniennes du Liban et de Syrie a permis à 15 des candidates d’obtenir leur diplôme et de trouver immédiatement du travail dans les dispensaires et hôpitaux du Liban. Le projet, initié par Hilda Baïramian, professeure à l’USJ, a depuis généré une autre formation : celle du métier d’assistant-dentaire, sanctionnée par un certificat d’aptitude (CAPAD).

Sur les 25 candidates accueillies, vingt d’entre elles ont obtenu le diplôme d’assistante-dentaire ; une profession très demandée au Liban.
Sur les 25 candidates accueillies, vingt d’entre elles ont obtenu le diplôme d’assistante-dentaire ; une profession très demandée au Liban.

ASSISTANT-DENTAIRE : UN MÉTIER À LA POINTE

Aujourd’hui, il existe environ 7 600 dentistes au Liban. Ils réclament de plus en plus d’assistants-dentaires et cette spécialité recouvre autant un savoir de base médical et dentaire que celui de management et de gestion du matériel souvent très onéreux. Cette formation permet une organisation optimale du cabinet dentaire. Les compétences acquises sont diversifiées : seconder le dentiste dans ses opérations, manipuler les équipements, préparer le champ opératoire (désinfection, stérilisation, tri des déchets), prendre en charge le patient au niveau de l’accueil, monter son dossier médical et assurer son suivi…
Sur les 25 candidates accueillies, vingt d’entre elles ont obtenu ce diplôme et se voient proposer des contrats de travail « avec un salaire bien supérieur au SMIC actuel au Liban », commente Hilda Baïramian. Pour elle, « il est important de noter que les échos de la première formation des aides infirmières (2021-2022) et la formation des aides dentistes (2022-2023), totalement financées par le Fonds Arménien de France, ont créé un ‘buzz’ intéressant auprès de la communauté paramédicale de Beyrouth ». En effet, le coût de la dernière formation, d’un montant de 44 000 € assuré par le Fonds Arménien de France, inclut les frais de préparation en amont du projet, la campagne d’information et de recrutement, la sélection des candidats, la supervision durant le projet et l’évaluation académique, la rémunération des professeurs titulaires de la faculté et des cadres responsables des laboratoires, le financement du matériel requis et les frais de fonctionnement…

UNE REMISE DES DIPLÔMES OFFICIELLE

La remise des diplôme s’est déroulée le 5 juin 2023, année du centenaire de la création de la faculté de médecine dentaire, sous le patronage de son éminence Shahé Panossian, prélat des Arméniens apostoliques du Liban et du professeur Sélim Daccache, recteur de l’USJ. Y assistait également Krikor Terzian, représentant le Fonds Arménien de France. Lors de la cérémonie, l’importance particulière de ces formations a été mise en avant car ces métiers sont pourvoyeurs d’emplois. En effet le secteur manque de spécialistes , surtout depuis l’exode massif en 2019, du personnel soignant vers l’Europe et les pays du Golfe à cause de la crise économique, sanitaire et politique. L’optimisme et l’espoir sont au rendez-vous : une seconde promotion de la formation des aides-infirmières va débuter prochainement ! Et le Fonds a reconduit l’aide de 100 000 € destinée chaque année aux écoles arméniennes.

Les coûts de la formation sont intégralement pris en charge par le Fonds Arménien de France.
Les coûts de la formation sont intégralement pris en charge par le Fonds Arménien de France.

Les résultats définitifs du Phonéthon 2024 seront affichés le dimanche 24 novembre 2024, au soir.

NB – Vous pouvez d'ores et déjà faire votre don sur : https://dons.fondsarmenien.org/phonethon

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Grâce à vous nous pouvons agir chaque jour pour aider à la reconstruction de l’Arménie.